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paru le mardi 12 mars 2024
Ce mardi 12 mars, a eu lieu le second stage "carrière et mutations" de l’année à destination des collègues stagiaires. Au programme, un premier bilan de l’année alors que les inspections de titularisation sont en train de se dérouler, quelques perspectives pour la suite et bien sûr l’explication du mouvement intra !
Les collègues nous ont fait part notamment des difficultés de leur année mais aussi de leurs satisfaction. Une bonne partie de l’après-midi a été consacrée aux stratégies à (…)
paru le lundi 14 octobre 2019
Compte-rendu du Groupe de Travail sur la mise en place des E3C (Epreuves Communes de Contrôle Continu) du jeudi 10 octobre 2019 au rectorat
Originalité du système éducatif français, le métier de CPE est réglementé par des textes. Néanmoins, la place des CPE dans les établissements n’échappe pas aux effets du néo-management alors qu’il leur est demandé de s’impliquer toujours plus dans la gestion des AED, l’orientation des élèves, au détriment parfois du suivi éducatif des élèves qui est au cœur du métier. La mise en œuvre du Nouveau Management Public (NMP) est à l’origine de bien des tensions au sein des établissements et (…)
paru le vendredi 5 avril 2024
Le 2 avril jour de grève et de mobilisations nationales, l’intersyndicale éducation de (…)
Nièvre
paru le vendredi 29 mars 2024
Nous n’avons pas choisi de devenir enseignant pour que soient constitués des groupes de niveau, (…)
paru le mardi 9 avril 2024
Afin d’expliquer notre opposition à la réforme dite du "choc des savoirs" dont les arrêtés et (…)
Yonne
paru le mercredi 3 avril 2024
La FSU est consternée par la polémique et les commentaires engendrés par la médiatisation de (…)
paru le jeudi 12 juillet 2007
La FSU a pris connaissance du rapport présenté par le président de la
commission sénatoriale sur la formation professionnelle, Jean-Claude
Carle, et son rapporteur, Bernard Seillier.
Elle en fera une analyse plus approfondie mais, en tout état de cause, la FSU partage l’idée que si chacun a droit au savoir, la Nation, quant à elle, est en droit de savoir où vont les fonds destinés à la formation professionnelle.
Toutefois, si l’offre de formation mérite d’être améliorée, le passage à une "logique de résultats" et à une réforme à coûts constants ne peut
que conduire à l’exclusion des moins favorisés et à une pratique du
moins disant de la part des responsables de formation à tous les niveaux.
La FSU se félicite en revanche de l’importance accordée par le rapport à la question centrale du pilotage du dispositif et souhaite vivement que soit retenue l’hypothèse d’un ministère chef de file chargé de la
coordination au plus niveau, qui serait le ministère de l’Education
nationale. Elle s’interroge dans ces conditions sur le maintien de la collecte des fonds de la formation par les OPCA, fussent-ils réduit en nombre.
La FSU, indépendamment des réserves qu’elle peut avoir en ce qui
concerne le DIF, est favorable à sa transférabilité. Elle craint, par
contre, que la construction d’un Compte Epargne Formation (intégrant,
entre autres, le DIF) aille dans le sens du renforcement de
l’individualisation du droit à la formation. Elle considère, en effet,
comme d’ailleurs les auteurs du rapport, que, si le droit à la formation est en partie un droit individuel, la formation est un bien public qui doit être assuré d’une part par la loi et d’autre part via les garanties collectives en matière de relations salariales.
