6, allée Cardinal-de-Givry
21000 DIJON
Tél : 03 80 73 32 70
Tél : 07 49 17 46 95
paru le mardi 12 mars 2024
Ce mardi 12 mars, a eu lieu le second stage "carrière et mutations" de l’année à destination des collègues stagiaires. Au programme, un premier bilan de l’année alors que les inspections de titularisation sont en train de se dérouler, quelques perspectives pour la suite et bien sûr l’explication du mouvement intra !
Les collègues nous ont fait part notamment des difficultés de leur année mais aussi de leurs satisfaction. Une bonne partie de l’après-midi a été consacrée aux stratégies à (…)
paru le lundi 14 octobre 2019
Compte-rendu du Groupe de Travail sur la mise en place des E3C (Epreuves Communes de Contrôle Continu) du jeudi 10 octobre 2019 au rectorat
Originalité du système éducatif français, le métier de CPE est réglementé par des textes. Néanmoins, la place des CPE dans les établissements n’échappe pas aux effets du néo-management alors qu’il leur est demandé de s’impliquer toujours plus dans la gestion des AED, l’orientation des élèves, au détriment parfois du suivi éducatif des élèves qui est au cœur du métier. La mise en œuvre du Nouveau Management Public (NMP) est à l’origine de bien des tensions au sein des établissements et (…)
paru le vendredi 5 avril 2024
Le 2 avril jour de grève et de mobilisations nationales, l’intersyndicale éducation de (…)
Nièvre
paru le vendredi 29 mars 2024
Nous n’avons pas choisi de devenir enseignant pour que soient constitués des groupes de niveau, (…)
paru le mardi 9 avril 2024
Afin d’expliquer notre opposition à la réforme dite du "choc des savoirs" dont les arrêtés et (…)
Yonne
paru le mercredi 3 avril 2024
La FSU est consternée par la polémique et les commentaires engendrés par la médiatisation de (…)
paru le jeudi 21 février 2013
Le bac 2013 est la première session de la réforme du lycée. La mise en place des nouvelles épreuves pose de nombreux problèmes.
Pour les langues vivantes, les épreuves orales en séries S, ES et technologiques reposent totalement sur une organisation locale, à la (sur)charge des enseignants.
?Les profs sont mis dans une position intenable, devant organiser des épreuves pour leurs propres élèves, sans consignes claires ni soutien matériel (absence de banque de sujets, problèmes de droits sur les documents audiovisuels, par exemple). ?
Les épreuves se déroulent de manière disparate et s’étalent de février à mai selon les lycées. L’éducation nationale ne s’est pas donnée les moyens de contrôler que tout se passe partout de la même façon, les élèves ne sont plus à égalité devant l’examen.
En séries technologiques et pour les nouvelles épreuves de droit et grands enjeux du monde contemporain (série littéraire), d’informatique et sciences du numérique ainsi que d’histoire-géographie (série scientifique), l’organisation de l’ensemble des épreuves pratiques et de projet (jurys, contenu des épreuves…) est aussi renvoyée aux enseignants, ce qui n’est pas admissible. Par ailleurs, en SES, les enseignants ne sont pas en mesure d’expliciter à leurs élèves les attentes des nouvelles épreuves, faute d’instructions claires.
En histoire-géographie et sciences économiques et sociales, les programmes de terminale sont infaisables, mettant enseignants et élèves en difficulté et rendant l’évaluation aléatoire. Dans l’urgence, le SNES demande que les épreuves du baccalauréat face l’objet d’un aménagement, permettant aux élèves de mieux organiser leurs révisions.
En physique-chimie et SVT, les enseignants ont découvert au fil des mois depuis la rentrée le cadrage des nouvelles épreuves, les instructions continuant à ce jour d’arriver.
?En littérature, l’horaire a diminué de moitié, mais l’épreuve est restée la même, sans que les enseignants n’aient reçu de consignes en terme de préparation.
« Tout ira bien », peut-être, mais surtout parce que les enseignants feront tout pour que les élèves ne soient pas trop pénalisés par les errements de la mise en place de la réforme des lycées.?
Une telle situation n’est pas acceptable, ni pour les élèves qui voient s’accumuler les obstacles, ni pour les enseignants qui revendiquent le droit à la qualité de leur travail, ni pour le système qui n’a rien à gagner à la désorganisation du baccalauréat.
?Le SNES réitère sa demande de cadrage et d’aménagements d’urgence de la session 2013 du baccalauréat.
